Découverte de Raising Robots : L’atelier des prodiges, localisation française chez Lucky Duck Games du jeu de Nauvoo Games de Brett Sobol et Seth Van Orden.
Découverte de Raising Robots : L’atelier des prodiges, localisation française chez Lucky Duck Games du jeu de Nauvoo Games de Brett Sobol et Seth Van Orden.
C’est un jeu de pli par équipe, découvert ici à 4 joueurs, chez Grrre Games de Thomas Favrelière. Une équipe bleue et une équipe orange avec des cartes de 1 à 6 ainsi que 3 cartes spéciales.
On construit son paysage avec un draft de carte assez originale représentant des paysages de couleurs différentes avec une icône.
On doit construire un tableau de 3×4 avec des cadeaux de 5 types et de 5 couleurs.
Après l’énorme succès de Sur les traces de Darwin, Sorry We Are French revient avec le deuxième jeu de la gamme, cette fois autour du personnage Marie Curie.
Une édition impressionnante pour ce jeu familial pas évident à décrire, dans un univers de sorcier, Incantibus de Cléo et Charles Chevalier (Loot, Abyss …) chez Studio H.
Petite boite toujours chez Oink Games et Pixie Games pour la distribution française avec ce jeu de tuiles où les joueurs formeront un paysage de 7 par 7 en commençant par le coin haut gauche.
Nouveauté à venir chez Bombyx et Asmodee avec Refuge, ce stop ou encore de Gerald Cattiaux (Stella, Master Word) à la couv magnifique. C’est un mélange de bag building et de stop ou encore avec des tuiles qui représentent notre balade en forêt pour prendre des animaux en photo.
Nouveauté chez Iello avec ce Stop ou encore familial dans un univers canin astucieusement nommé Spots ou encore, un jeu de Jon Perry, Alex Hague et Justin Vickers. Nous démarrons la partie avec des cartes Chiens comportant de 1 à 4 cases avec une valeur de dés imprimés (et les petits noms des chiens des employés de Iello). Le but à notre tour, arriver à placer des dés de valeur correspondante. Mais attention, les dés que l’on ne peut placer sont enterrés sous la niche, et si la valeur de ces dés dépasse 7, ce sont tous les dés présents sur nos chiens qu’on retire !
Après l’excellent Ink It, Bankiiiz éditions va revenir avec ici un jeu de mot compétitif encore bien malin : Cachamot de Koryo Akiyama et Yusei Kesu. Le joueur actif écrit un mot sur le plateau qui sera visible de tous les joueurs, puis un deuxième (dont seule la première lettre sera visible) inspiré du premier mot et enfin un troisième (dont seule la première lettre aussi sera visible) mais cette fois inspiré du deuxième mot.
Direction Sylex avec Navoria, créé et illustré par Meng Chunlin, ce jeu initié très attrayant visuellement avec des illustrations proches du chouette Root. Ici, point de wargame, nous sommes sur un jeu d’aventure, de gestion de ressources et de pistes avec des cartes.
On commence du côté de chez Asmodee et plus précisément Captain Games avec ce Duck & Cover de Oussama Khelifati, sorte de Skyjo survitaminé. Avec des cartes de 1 à 12 avec des points de score dessus (de 0 à 5 en fonction de la valeur), chaque joueur étalera ses cartes sur une grille de 4×3 aléatoire.
Troisième et dernier jour pour ce festival de Vichy Pro avec une journée un peu plus courte puisqu’il faut quand même bien repartir sur la route et rentrer chez nous !
Deuxième jour à Vichy, le lundi 16 septembre. On continue les découvertes un peu au feeling.
Après la rentrée des écoliers, c’est aussi pour nous le retour des festivals, avec Vichy, puis ensuite Octogones à Lyon.
1er jour donc de ce festival Vichy pro 2024 en ce dimanche 15 septembre. C’est probablement le festival que nous attendons le plus chaque année pour plusieurs raisons. Il n’est pas si loin que ça de chez nous (environ 2h de route) et nous permet de tester un maximum de jeux en peu de temps, car il est réservé aux professionnels (boutiques, auteurs, éditeurs) et à la presse ludique. Nous nous savons privilégiés ici et faisons donc le maximum pour en profiter, mais aussi pour vous retranscrire au mieux tout cela.
Dans la rivière de l’or, nous allons incarner des marchands et construire notre empire commercial pour gagner en influence auprès des nobles de Rokugan. Ce jeu se situe dans l’univers de la Légende des 5 anneaux, célèbre pour son jeu de carte évolutif et son jeu de rôle, et propose une difficulté initiée pour un jeu de gestion de ressources, déplacements d’ouvrier et majorité.
Le plateau de jeu représente une rivière bordée de zones où nous pourrons construire des bâtiments. Ces zones sont délimitées en 6 régions dans lesquelles nous essayerons d’obtenir un maximum d’influence.
À notre tour, nous devrons choisir une action en fonction du dé que nous aurons précédemment lancé. Chaque face de dés présente une région et un numéro associé.
Nous pourrons soit :
Nous relancerons notre dé à la fin de notre tour pour anticiper le prochain.
Dès la boite, le ton est donné avec ces liserets en or qui la rende magnifique et qu’on retrouve sur le plateau de jeu. C’est probablement l’un des plus beaux plateaux de jeu vu récemment ! Nous l’avons découvert à 3 joueurs et avons tous apprécié l’expérience de jeu. Des règles très accessibles avec pourtant un choix important en fonction de notre dé pour optimiser notre tour du mieux possible. Le dé peut être modulable (+1/-1) via des Faveurs divines que l’on peut gagner via des cartes ou bâtiments.
Une variante existe donnant en plus une asymétrie à chaque clan avec une carte Mécène distribuée en début de partie.
Nous gagnerons des points via les cadeaux de certains bâtiments en naviguant sur cette zone, en livrant des commandes à nos clients (certains pouvant aussi faire gagner des points de victoires de fin de partie sous condition), en acquérant les maitrises (3 objectifs communs à chaque joueur), et en étant majoritaire dans une des 6 zones de Rokugan.
C’est beau, complet, avec un bon panel de mécanique excellemment imbriqué les unes entre les autres sans pour autant en être surchargé. Il est très plaisant à jouer avec des tours assez vif et on a vite envie d’y retourner pour tester la variante et les autres configurations de joueurs !
Wingspan a été un gros succès de ces dernières années. Nous l’avons longtemps apprécié ici, mais il a fini par disparaitre, notamment à cause de quelques défauts : une durée un peu trop importante pour ce qu’il propose, et des derniers tours peu passionnant qu’on passe uniquement à pondre. Wyrmspan arrive en proposant un univers très proche, mais dans le monde plus fantaisiste des dragons. Qu’en est-il donc ?
Si tu connais Wingspan, tu auras beaucoup de repères puisque les similitudes restent nombreuses. On va retrouver trois lignes sur son plateau pour y poser des dragons correspondant à des grottes, dragons qui ne peuvent être posés que sur certaines de ces grottes et qui peuvent accueillir plus ou moins d’œufs, des objectifs de fin de manche, des dragons de taille et de type différents avec des effets de pose, de fin de manche, de fin de partie, ou des effets d’activation (pour l’explorateur). Des dragons qui vont pouvoir stocker des ressources ou glisser des cartes sous eux.
Mais on retrouve aussi beaucoup d’éléments différents ! Sur chaque colonne, à partir de la 2ème, il faudra d’abord jouer une carte Caverne avant de pouvoir accueillir un dragon. Pour réaliser une des 3 actions du jeu, il faudra d’abord payer l’une des 6 pièces que l’on a par manche. Des pièces que l’on peut gagner par d’autres moyens pour avoir plus d’actions lors de la manche. L’explorateur est une action qui va activer de gauche à droite vos cartes et les cases entre vos cartes sur une grotte choisie.
Wyrmspam propose aussi une tension bien plus forte. Le jeu est un cran plus expert que son ainé avec une technicité plus importante et une meilleure tension sur les ressources. Il est aussi particulièrement beau, par contre il faut avouer, qu’à moins d’être un féru des dragons, le thème, contrairement à Wingspan, passe complétement à la trappe et on l’oubli très vite. Ça aurait pu être des chèvres en lieu et place des dragons, que ce serait la même chose ! En attendant, il corrige pas mal des défauts de Wingspan avec une belle proposition bien plus singulière qu’on ne pouvait le craindre.
Derrière ce jeu de mot un peu douteux se cache l’une des révélations de cet été dans les jeux d’ambiance. 1% est un jeu de bluff et de prises de risques où chaque joueur n’a qu’un pourcent de chance de gagner. Pour l’emporter, il faut lancer deux dés 10, et faire un double 0. 1% de chance de réussir !
Le monde des Jeux de Cartes à Collectionner (JCC ou TCG/CCG en anglais) est en pleine ébullition depuis 2 ans, il est désormais secoué par une triple arrivée.
D’abord avec Lorcana de Disney et Ravensburger depuis septembre 2023. Puis avec Star Wars Unlimited en Mars 2024. Cet été sera le dernier gros coup avec l’arrivée d’Altered par Équinox et Asmodee aussi en sortie officielle en septembre 2024.
Comparons un peu ces 3 JCC via différentes perspectives en les mettant en relief avec le maitre du genre : Magic The Gathering.
Nous incarnons l’un des 4 rats qui s’est échappé du célèbre Institut Wistar. Nous allons devoir guider notre famille et ainsi montrer que nous sommes le rat le plus méritant pour diriger toute la colonie.