Donuts

Chaque tour, un joueur pose un Donuts à sa couleur. La case choisie avec la déclinaison du trait central indique les choix possible à l’adversaire (comme dans l’excellent Sobek 2 joueurs avec le pion Ankh). Si pas de choix disponible, il place où il veut.

Le but : aligner 5 donuts à sa couleur. Le twist : si on arrive à insérer notre pion entre des pions adverses, ceux adjacents adverses sont retournés à notre couleur.

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Virtual Revolution

Dernière sortie chez Studio H, dans Virtual Revolution, nous sommes à la tête d’une multinationale qui produit des univers virtuels pour prendre la tête du Néo Paris. C’est un jeu de Guy-Roger Duvert pour 2 à 4, plutôt initié, de contrôle de territoire dans un univers futuriste. L’auteur est aussi le réalisateur du film du même nom sorti en 2016, suivi d’une BD en 2018 (préquel au film) et d’un roman en 2020. Le jeu de société est la dernière adaptation de son univers. Je n’avais aucune connaissance de cela, mais le visuel du jeu intriguait assez avec cet univers Cyberpunk grisé.

À notre tour, on place notre Directeur sur une case puis décidons soit de placer un pion à notre influence si la case n’a pas de pion adverse et de prendre une carte Corruption, soit de retirer un pion adverse présent et prendre une carte Corruption, soit de déplacer un de nos pions ici. Ensuite, nous ferons une des 5 actions du plateau, gagner de l’argent, recruter un Agent si un pion Agent est adjacent ou sur la case de notre Directeur, installer un Serveur sur une case, développer un Verse ou retirer des cartes Corruptions. Il y aura, des Cyber-terroristes, les Nécros qui seront attirés si nous avons trop de cartes Corruptions en fin de manche et activerons nos Corruptions, cartes très punitives qu’on essaiera d’éviter grâce à des Boucliers. Les cartes Agents apportent des pouvoirs, peuvent booster une de nos actions ou partir en retraite pour un bonus. Les Verses permettent de gagner des points et un bonus en validant les conditions nécessaires. Avoir l’influence de toutes les cases d’un quartier donnera aussi un pouvoir (et des points).

Bref, le jeu est assez complet mais la mayonnaise n’a pas pris à table. Des tours un poil long, une position de départ très avantageuse pour moi que personne n’aura réussi à contester toute la partie, une durée de 2H30 pour ce type de jeu (avec 2 joueurs seulement le découvrant), une iconographie assez difficile à lire sans se rapprocher systématiquement des cartes, certaines cartes de fin de manche ultra punitives sans pouvoir y faire quoi que ce soit… Dommage, on passe à travers alors que l’univers paraissait intéressant.

Dossiers criminels – Disparition aux Caraïbes

Nous aimons beaucoup ici les jeux d’enquêtes, mais force est de reconnaitre que nous n’avons que très peu pris du plaisir ou été surpris depuis le jeu Detective ! Ce mois-ci, nous en avons découvert deux qui nous ont énormément plu ! La série Dossiers Criminels chez Platonia Games est la 1ère de ces découvertes avec ce dossier autour d’une Disparition aux Caraïbes ayant eu lieu sur le bateau Colossus of the Sea. Pas de règle, on ouvre le dossier et on joue !

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Les aventuriers du rail – Légendes de l’Ouest

C’était l’un des jeux les plus attendus chez nous, cette version Legacy des Aventuriers du Rail Légendes de l’Ouest, toujours par Alan R.Moon mais aussi aidé de Rob Daviau & Matt Leacock (la série des Pandemic Legacy) chez Days Of Wonder & Asmodee France. Nous possédons déjà pas mal de versions et apprécions les petits twists de chacune. Nous étions donc super curieux de voir ce qui pouvait être proposés dans une version Legacy (destructive). Après 5 parties sur une campagne à 4 joueurs, nous sommes déjà très emballés par la proposition ludique. Difficile d’en dire plus sans spoiler, mais on retrouve, tout ce qui nous est cher dans les Aventuriers du Rail avec cet élément de surprise d’une partie à l’autre, ces petits twists nouveaux qu’on découvre au fur et à mesure et cette évolution constante du plateau (grâce à des parties du plateau en forme de puzzle qu’on ajoute à la carte de départ). Le comptage de point est en plus simplifié car uniquement lié à l’argent gagné. C’est malin. C’est aussi à ce stade (5 parties), plus méchant que ce qu’on a l’habitude de voir et sur une campagne, c’est agréable d’avoir ce gros aspect compétition ! Hâte d’aller au bout en tout cas, mais pour le moment, le plaisir est intense avec des parties très disputées entre 30 et 45 minutes à 4 et une volonté de continuer très forte pour découvrir ce qui nous attend par la suite. On est un poil moins emballé par la narration finalement un peu trop facultative, mais ca n’enlève rien au plaisir de jeu.

Dixit Disney

On ne présente plus aujourd’hui Dixit, ce jeu de déduction où un joueur devra faire deviner, via un thème annoncé à l’oral, sa carte parmi d’autres posées par les autres joueurs. Seulement, il ne faut pas que tous trouvent la bonne carte, ni qu’aucun ne la trouve ! On découvre ici une édition spéciale Disney avec 84 illustrations exclusives pour l’occasion dans l’univers des dessins animés et films de la célèbre marque aux grandes oreilles

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Spellbook

Dans Spellbook, nous devrons construire notre système d’actions (Action Building ?) à partir de 7 cartes (une par couleur) choisie en début de partie (parmi 3 par couleur de niveau 1 à 3). Chaque joueur ayant les mêmes pour la partie. Nous allons jouer avec de superbes pièces appelées Matéria étant d’une couleur et une Rune inscrite dessus (3 Runes différentes sont disponibles).

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Discordia

Dans Discordia, un jeu de Bernd Eisenstein localisé en France par Sylex,nous allons développer notre cité à la frontière des terres germaniques en construisant des fermes, des ports, des casernes, des marchés, en faisant du commerce avec des navires et en essayant de repousser les incursions des barbares.

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Tiletum

Des dés, des combos, une réflexion assez hardu, c’est le programme que nous annonçais Tiletum de Simone Luciani & Daniele Tascini chez Board & Dice & Pixie Games pour la VF pour devenir le marchand le plus prospère. Avec 4 manches ayant chacune un scoring de fin changeant d’une partie à l’autre si notre marchand ou une maison a été placé dans la ville dans laquelle la foire de cette manche va se dérouler, le jeu possède un flow très intéressant, puisque dès le départ, nous pourrons planifier le placement de nos pions ainsi que les éléments à construire/placer pour maximiser chacun des scorings. Nous avons trouvé cela assez original et très intéressant. Côté actions, on retrouve des dés qu’on placera autour d’une roue d’action où nous prendrons un nombre de ressources en fonction de la valeur et de la couleur du dé et nous pourrons réaliser X fois une action, inversement de la valeur du dé en question. Plus le dé est grand, plus nous aurons de ressources, mais moins nous ferons d’actions.

On pense à du Coimbra, la Cathédrale Rouge, plein de bons jeux qu’on aime beaucoup et on se demande si celui-ci a sa place, ou si ceux cités ne sortirons pas plus ?

Waterfall Park

Dernière sortie à venir (fin septembre) chez Repos Production, ce jeu de Karsten Hartwig est une relecture d’un de ces précédents opus (Chinatown). C’est un jeu pour 3 à 5 joueurs de négociation où les joueurs doivent créer le meilleur parc d’attraction au monde, ou du moins celui qui le rendra le plus riche ! Avec un plateau possédant 81 emplacements afin d’accueillir une des 8 attractions du jeu. Chacune pour être complété devra prendre de 3 à 5 emplacements juxtaposés.

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R.I.P. Nature Morte

R.I.P. est tout d’abord une excellente bande dessinée chez Petit à Petit. Avec un scénario de Gaet’s et des dessins de Julien Monier, elle nous met dans la peau d’employé d’une société spécialisée dont le travail est de faire le ménage chez les personnes décédées n’ayant pas de famille, pas d’entourage (oui, c’est glauque). Le jeu est l’adaptation de cet univers dans un petit format chez Jeux Opla commis par Alexandre Droit.

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Faraway

Ce jeu de tableau possède une mécanique bien originale puisque le score sera compté à l’envers. On va placer des cartes Régions de gauche à droite représentant le chemin parcouru sur notre aventure. Chaque carte Région représentera une exploration et une rencontre d’un personnage. Ces Régions possédant des ressources et/ou conditions de points de victoire (dont certaines nécessitent aussi des ressources pour être activées). C’est sur le chemin du retour qu’il faudra faire nos emplettes et amener aux personnages rencontrés ce qu’ils nous ont demandés.

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